Institut du Patrimoine dans les médias

Les investisseurs ont moins de choix et la crise sanitaire, qui a frei né les chantiers, n’y est pas pour rien. «Le marché est moins large qu’avant», confirme Mathieu Mars, directeur associé de l’Institut du patrimoine.

Présenté comme valeur refuge, l’immobilier ne risque-t-il pas d’être ébranlé par des effets ricochets liés à la crise sanitaire ? Certains anticipent des décotes dans les différents secteurs de la pierre. C’est l’occasion de saisir des opportunités.
Intervention de Mathieu Mars, directeur associé de l’Institut du Patrimoine.

3 Questions à Mathieu MARS, Conseiller en gestion de Patrimoine à l’Institut du Patrimoine.  Il nous explique en quoi le marché locatif résiste bien à la crise.

L’avantage fiscal est reconduit, mais les promoteurs s’inquiètent. Avec la crise, la production de logements s’effondre. Les acheteurs qui veulent défiscaliser en cette fin d’année sont bien en peine de trouver chaussure à leur pied.
Le constat de Mathieu Mars, directeur associé de L’institut du Patrimoine.

La grande majorité des Français aspire à mettre de l’argent de côté. Si certains choisissent la prudence, d’autres sont plus audacieux.
Retrouvez l’expertise de Mathieu Mars, directeur associé de l’Institut du patrimoine.

Les marchés boursiers ont beau être euphoriques depuis l’annonce de vaccins contre le Covid, les épargnants hexagonaux jouent la carte de la prudence. 

Accessibles jusqu’aux derniers jours de l’année, les SCPI permettent de défiscaliser à l’euro près. Grâce à des tickets d’entrée modestes, ce produit est susceptible d’intéresser différents profils d’investisseurs avec toujours une longue durée de détention.

Accessibles jusqu’aux derniers jours de l’année, les SCPI permettent de défiscaliser à l’euro près. Grâce à des tickets d’entrée modestes, ce produit est susceptible d’intéresser différents profils d’investisseurs avec toujours une longue durée de détention.

Le début de pénurie de logements neufs et le retard pris par les chantiers suite à la crise sanitaire incitent les investisseurs à se diriger vers l’immobilier ancien. Emplacements de qualité, décotes à l’achat et avantages fiscaux en pagaille: les logements à rénover peuvent receler de bonnes surprises.

Les mises en vente de logements neufs ont plongé au premier semestre 2020. Ce début de pénurie et le retard pris par les chantiers suite à la crise sanitaire incitent les investisseurs à se diriger vers l’immobilier ancien. Emplacements de qualité, décotes ci l’achat et avantages fiscaux en pagaille : les logements à rénover peuvent receler de bonnes surprises.