Picasso ou CAC 40 : Miser sur l’art, une activité à risque qui peut rapporter gros

Depuis le début des années 2000, le marché de l’art contemporain enregistre annuellement une croissance à deux chiffres, une performance supérieure aux actifs traditionnels, explique à l’AFP Arnaud Dubois, responsable du service art moderne et contemporain à l’Institut du patrimoine qui a accompagné le jeune couple dans ses acquisitions.
Sans parler des prix « stratosphériques » des têtes d’affiche du marché: « un triptyque de Bacon à 142,4 millions de dollars en 2013, une sculpture de Giacometti à 140 millions en 2015, un Picasso à 179,3 millions de dollars en mai dernier », égrène-t-il en jugeant « fort probable » une enchère au-dessus du milliard « dans les décennies à venir. »