Institut du Patrimoine dans les médias

Location meublée, où et comment investir

Paris Match. Qu’est-ce qu’un investissement dans une “résidence immobilière gérée” ?

Stéphane PeltierLa location meublée non professionnelle (LMNP) permet d’investir dans des résidences avec services, dont la gestion est confiée à un exploitant professionnel, dans le cadre d’un bail commercial. Cela comprend diff érents types de biens immobiliers : maisons de ret raite, résidences pour seniors, pour étudiants, de tourisme (à la montagne ou en bord de mer). ainsi que les résidences de tourisme d’affaires en ville.

Quel est le meilleur dispositif fiscal ? 

Deux méthodes sont possibles. En privilégiant l’approche fiscale sur neuf ans, le régime Censi-Bouvard est le plus adapté: vous bénéficierez chaque année d’une réduction de votre impôt sur le revenu, calculée en fonction du prix de revient hors taxes. Cet avantage s’élève à 11 %, dans la limite de 300000 euros investis par an. En choisissant un rendement à plus long terme, pour disposer par exemple d’un complément de reven us pour votre retraite, le statut LMNP prend l’avantage. Dans les deux cas, la TVA est récup érable, soit 19,6%.

“Soyez vigilant sur les résidences pour seniors”

Stéphane Peltier – Directeur Associé de Leemo et fondateur de L’Institut du Patrimoine

Comment se distinguent ces deux dispositifs? 

Dans le cas du Censi-Bouvard, vous disposerez de revenus défiscalisés pendant neuf ans. L.a taxe foncière et les intérêts d’emprunt seront déduits des loyers perçus et la réduction d’impôt s’appliquera. Attention, après cette période de neuf ans, vous serez imposé sur une partie des loyers perçus. Dans le cadre du statut LMNP. vous amortissez la valeur de votre acquisition — en dehors du terrain — sur 20 à 25 ans, un amortissement qui constitue une charge déductible des loyers. Ces revenus sont sécurisés, dans la mesure où les baux commerciaux obligatoires comportent des clauses d’indexation des loyers. L’idéal, quand on en a les moyens. consiste à utiliser simultanément les deux dispositifs.

Comment bien choisir son modèle de résidence?

Le secteur des résidences médicalisées est porteur, avec des rendements bruts de 4,5 à 5 %, une demande croissante et une offre qui se restreint. Son inconvénient réside dans le très faible nombre de biens disponibles à la vente, à cause de fortes restrictions concernant les agréments de nouvelles constructions. Il ne faut surtout pas confondre ces dernières avec les résidences pour seniors, qui demandent davantage de vigilance aux investisseurs. Leur principe consiste à proposer à des personnes âgées de plus de 70 ans des services destinés à leur faciliter la vie. Mais ces logements s’adressent à des locataires dont les revenus restent modestes. Dans ce cas, il faut mettre l’accent sur l’emplacement du bien, les facilités de transport et retenir un organisme gestionnaire d’envergure nationale.

Et les résidences de tourisme?

La qualité reste le premier critère. Car les appartements proposés se révèlent très disparates: un appartement à Megève, que vous pourrez occuper quelques semaines par an, n’a aucun point commun avec une chambre en résidence d’affaires à la Défense. Des différences reflétées par les écarts de rendements, qui peuvent varier de 2 à 5,5% par an ! Les règles du respect de l’emplacement et de l’examen attentif de la situation comptable de l’exploitant, elles, s’appliquent pour tous les biens.

Paru dans Paris-Match n°3324 – Janvier 2013

Paris Match

01 janvier 2013

Optez pour le bon contrat d’assurance vie

Alors que ces dernières années, les marchés boursiers ont été délaissés en raison de leur extrême volatilité, les contrats d’assurance vie ont également vu leur nombre diminuer en 2010…

Ce léger repli s’explique notamment par la baisse des taux des fonds euros et par le relèvement du taux des comptes sur livretqui ont rendu ces derniers plus attractifs.

Mais, malgré cette baisse de souscription, l’assurance vie -« placement préféré des français »-, demeure plébiscitée par de nombreux épargnants désireux de transmettre leur patrimoine dans un cadre fiscal avantageux.

Et, plus qu’un outil de transmission, l’assurance vie peut s’avérer être un moyen efficace de diversifier ses placements et d’optimiser son patrimoine. Pour ce faire, différents contrats sont proposés, n’offrant pas tous les mêmes avantages (cf encadré).

Souscrire à un contrat d’assurance vie nécessite donc un conseil expert et individualisé, afin que l’optimisation patrimoniale soit garantie.

Car, si l’assurance vie est une formule  avantageuse, de nombreux éléments sont à considérer avant d’y souscrire. En effet, il est indispensable de prendre des précautions et d’obtenir une information exhaustive afin de ne pas faire un mauvais choix…

  • La performance : il ne faut pas accorder trop d’importance au taux de rendement d’un contrat, mais davantage à la capacité de ce dernier de s’étaler sur le long terme.
  • Les frais : une vigilance particulière est de mise concernant:

-Les frais d’entrée, prélevés sur chaque versement du souscripteur, qui, s’ils sont trop importants, nuisent à la performance du contrat,

-Les frais de gestion, prélevés chaque année, rémunérant l’assureur pour la gestion du contrat. Le montant de ceux-ci correspond à un pourcentage de la valeur acquise du contrat,

-Les frais d’arbitrage, appliqués sur les contrats multisupports  et  payés quand le souscripteur change la nature d’un actif,

-Les frais de sortie anticipée, s’appliquant  si l’épargnant clôture son contrat avant son terme.

  • Les prélèvements sociaux : il faut en effet savoir que les plus-values réalisées sur un contrat d’assurance-vie y sont assujetties, à hauteur de 12,3% annuellement.

Fournissant à ses clients les informations nécessaires à la compréhension de ces éléments non négligeables, l’Institut du Patrimoine les accompagne dans cette démarche et leur permet d’opter pour la formule la plus avantageuse.

Ainsi, contrairement à la tendance observée -la baisse des souscriptions aux contrats d’assurance vie- l’Institut du Patrimoine constate que le nombre de contrats souscrits par ses clients est en constante progression, ces derniers ayant bénéficié d’un conseil expert et sur-mesure.

IP

01 octobre 2011

L’importance de choisir un crédit adapté

La réglementation encadrant le crédit renouvelable-nouvelle étape dans l’application de la loi Lagarde- permet, depuis le 1er mai, de mieux lutter contre le surendettement des Français…

En effet, le  nombre de  personnes se trouvant dans l’impossibilité manifeste de payer leurs factures et de faire face au remboursement de leurs crédits ne cesse de croître. Ainsi, 216 606 dossiers de surendettement ont été déposés auprès de la Banque de France de mai 2009 à avril 2010, soit une augmentation de 8.7% par rapport aux douze mois précédents.

Le choix d’un crédit étant primordial, il est nécessaire de prendre en considération une multitude d’éléments avant d’emprunter.

En effet, l’Institut du Patrimoine constate que de nombreuses personnes optent pour des crédits non adaptés, trop contraignants, entravant de ce fait la réalisation de leurs projets. S’adressant à leur banquier -souvent leur unique interlocuteur financier- les français apparaissent mal informés quant à leurs conditions d’emprunt et ne semblent pas mesurer pleinement l’importance de ce choix pour leur avenir.

Et, si le taux du crédit -déterminant le montant d’intérêts que devra verser l’emprunteur à la banque- est, bien sûr à considérer, il ne doit pas être le seul élément décisif. (cf encadré).

C’est pourquoi l’Institut du Patrimoine réalise un audit complet de la situation de ses clients et prend  également connaissance de leurs projets -présents et futurs-, afin de sélectionner le crédit disposant des caractéristiques les plus avantageuses.

Car, emprunter de l’argent n’est pas une décision anodine et doit être mûrement réfléchi auprès d’un conseiller de confiance, dans une vision à court terme mais aussi à long terme.

En outre, il est primordial de choisir un crédit en fonction de son objectif car, un crédit destiné à financer une résidence principale et un crédit ayant pour but de financer un investissement locatif ne doivent pas être abordés de la même manière, ne relevant pas d’une démarche équivalente.

L’Institut du Patrimoine a ainsi constaté que, parmi ses clients, nombreux ont été ceux à emprunter dans des conditions qui leur ont été défavorables. N’ayant pas disposé d’une information exhaustive et d’un suivi personnalisé auprès de leur banquier, ils se sont ainsi trouvés dans l’incapacité d’effectuer de nouveaux crédits pour investir, les banques considérant qu’ils avaient atteints un niveau d’endettement trop élevé.

De plus, comme le fait remarquer Stéphane Peltier, co-fondateur de l’Institut du Patrimoine, les emprunteurs ont tendance à vouloir rembourser leurs crédits le plus rapidement possible, à en « être débarrassés», négligeant souvent les inconvénients que cette décision implique. Car, moins la durée du prêt est élevée, plus les mensualités seront importantes…

Les conseillers de l’Institut du Patrimoine disposent des compétences nécessaires pour orienter leurs clients vers le crédit qui leur permettra d’une part, de réaliser leurs projets immédiats et futurs et, d’autre part, de ne pas être « étouffés » par les mensualités.

Tandis qu’en France la durée moyenne des crédits en 2010 s’est établie à 20ans, la durée moyenne d’emprunt des clients de l’Institut du Patrimoine s’élève à 22ans pour la même année. Et, alors que le montant moyen emprunté par les français a été de 166 200euros, les clients de l’Institut du Patrimoine ont emprunté en moyenne 169 000euros.

IP

01 mai 2011

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