Institut du Patrimoine dans les médias

Le dessin, un sésame pour pousser les portes du marché de l’art contemporain

Chaque année, à la fin du mois de mars, Paris devient la capitale mondiale du marché du dessin.

Arnaud Dubois, responsable placements art moderne et contemporain à l’Institut du Patrimoine.

Chaque année, à la fin du mois de mars, Paris devient la capitale mondiale du marché du dessin.

Pas moins de trois évènements mettent à l’honneur le dessin : le Salon du Dessin, le salon Drawing Now et le salon DDessin. C’est sans compter les ventes aux enchères de dessins anciens et modernes qui se tiendront chez Christie’s et les nombreuses expositions muséales consacrées aux dessins dont la fabuleuse Donation Florence et Daniel Guerlain au Centre Pompidou constituée d’un ensemble de 1.200 pièces.

Il semble qu’après l’engouement qu’à connu Paris pour la photographie c’est au tour du dessin de trouver ses lettres de noblesses.

Un marché abordable et prometteur.

Un dessin contemporain sur deux est adjugé en dessous de 2.000 euros. Le marché du dessin contemporain procure de véritables opportunités pour les jeunes collectionneurs qui souhaitent débuter une collection. Les oeuvres sur papier sont un véritable sésame pour les collectionneurs aux budgets les plus modestes ou bien les jeunes amateurs d’art, leurs permettant de pousser les portes du marché de l’art. Le dessin est un excellent moyen d’accéder au travail des stars du marché de l’art contemporain à moindre coût tout en gardant l’espoir de faire des plus-values en cas de revente.

La flambée du prix des oeuvres d’art contemporain incite les collectionneurs à se diriger vers de nouveaux marchés plus abordables avec souvent l’espoir de découvrir un nouvel Eldorado.

Une fiscalité particulièrement attrayante.

Les oeuvres sur papier sont considérées juridiquement comme des oeuvres d’art à part entière et par conséquent bénéficient intégralement de la fiscalité particulièrement avantageuse des oeuvres d’art.

D’abord elles sortent intégralement de l’assiette taxable de l’ISF.

Ensuite et en cas de revente, le vendeur dispose d’un choix non négligeable entre la taxation forfaitaire à hauteur de 6,5% du prix de vente du bien, et le régime général, avec l’imposition de la plus value à hauteur de 34,5% (19% + 15,5% de prélèvements sociaux) moins un abattement de 5% au delà de la deuxième année.

Après 22 ans de détention, les oeuvres d’art sont entièrement exonérées de la plus-value.

Bon à savoir

Quand la qualité est au rendez-vous, dessin ou pas, les prix sont (presque) toujours exceptionnels !

En 2012, un dessin du maitre italien de la Renaissance Raffaello Sanzio représentant une tête d’apôtre à été vendu 36,7 millions d’euros pulvérisant son précédent record, une ravissante tête de muse vendu pour 32,2 millions d’Euros en 2009.

Le CV de Arnaud Dubois

Responsable placements art moderne et contemporain, Institut du Patrimoine Après plusieurs années passées au sein de prestigieuses galeries d’art contemporain et sociétés de ventes aux enchères internationales, Arnaud Dubois est aujourd’hui responsable des placements en art moderne et contemporain au sein de l’Institut du Patrimoine. Conseiller en gestion de patrimoines artistiques, il répond aux différents besoins des particuliers et professionnels qui souhaitent se constituer un patrimoine artistique en vue d’une diversification patrimoniale.

Boursier.com

04 mars 2014

Charmes et pièges de l’immobilier de caractère.

Rénover un bien ancien au centre-ville permet de s’enrichir et de réduire ses impôts grâce à la loi Malraux. À condition de bien choisir son opération.

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Le Revenu

03 mars 2014

L’intégration des oeuvres d’art à l’ISF ne sera pas remit en cause, assure l’Institut du Patrimoine

L’intégration des oeuvres d’art à l’ISF ne sera pas remit en cause.

Les oeuvres d’art et d’antiquité connaissent une fiscalité spécifique. Ils font partie des rares actifs patrimoniaux à ne pas être assujettis à l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), rappelle l’Institut du Patrimoine. L’article 885 I du Code général des impôts (CGI) prévoit que les objets d’antiquité, d’art ou de collection en sont intégralement exonérées de l’ISF.

Cette exonération des oeuvres d’art à l’impôt de solidarité sur la fortune a deux avantages : d’une part, le patrimoine artistique n’est pas déclarable à l’ISF ; d’autre part, les sommes consacrées à l’acquisition d’oeuvres d’art sortent intégralement de l’assiette taxable de l’ISF.

Un particulier disposant d’un patrimoine taxable de 1 350 000 euros doit donc régler 2 225 euros d’ISF par an. En achetant une oeuvre d’art à 50 000 euros, il est exonéré d’ISF. « Avec un gain de 2 225 euros par an, 4,45% du prix de l’oeuvre est financé tous les ans par sa réduction d’impôt », précise Arnaud Dubois, responsable du service Art.

« Dans un marché de l’art mondial où l’oeuvre d’art se déplace vers les lieux où la demande est la plus forte et la fiscalité la moins pénalisante, le différentiel de charges font de la France une place de marché extrêmement favorable pour ses opérateurs. » ajoute-t-il.

Selon l’Institut du Patrimoine, l’intégration des oeuvres d’art à l’ISF ne sera pas remit en cause. Cette mesure ne serait en effet pas à la hauteur des efforts demandés : la rentabilité fiscale serait très faible, à hauteur de quelques millions d’euros seulement.

Par ailleurs, les oeuvres d’art n’apportant pas de revenu, taxer les oeuvres d’art reviendrait à taxer la détention. Cette mesure inciterait les collectionneurs à ne pas acquérir des oeuvres d’art, ralentissant considérablement le marché de l’art en France.

De plus ajoute l’Institut du Patrimoine, le Fisc ne dispose d’aucun moyen sérieux pour apprécier la valeur des oeuvres d’art des contribuables : celui-ci ne saurait se baser sur aucun critère pour déterminer une assiette taxable.

Enfin, cela aurait pour double effet la fuite massive des oeuvres d’art à l’étranger, entraînant la décroissance du marché de l’art en France et le non retour des capitaux pour éviter leurs taxations à l’ISF.

Le Figaro

03 mars 2014

Les paris gagnants pour 2014

La Bourse repart, l’assurance-vie reprend des couleurs, et les acheteurs sont de retour dans l’immobilier… Mais la gestion de son épargne demeure souvent un casse-tête. Voici nos conseils et nos réponses aux questions que chacun se pose sur l’évolution de son patrimoine.

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L'Express

02 mars 2014

Les dossiers de l’Épargne France

L’analyse de nos experts.

Les Dossiers de l'Epargne

02 mars 2014

L’art chinois est-il un bon placement ?

Le 25 mars, l’évolution de la part de l’art chinois dans le marché de l’art moderne, a été le thème abordé par Arnaud Dubois, expert en art moderne et contemporain à l’Institut du Patrimoine, dans Intégrale Placements, avec Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur, sur BFM Business. Selon Arnaud Dubois, le marché de l’art chinois est un marché qui a connu une croissance colossale (plus de 8% en 2013), ayant créé des collectionneurs extrêmement ambitieux.

Chaque matin, Intégrale Placements, l’émission 100% placements présentée par Guillaume Sommerer et Cédric Decoeur. Les meilleurs experts vous donnent les clefs pour faire fructifier votre capital sur BFMBusiness, première chaîne d’informations économiques en France. Retrouvez toute l’actualité économique et financière sur BFMBusiness.com.

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BFM

01 mars 2014

Institut du patrimoine cité dans le Figaro Bourse

L’intégration des oeuvres d’art à l’ISF ne sera pas remit en cause, assure l’Institut du Patrimoine.

Les oeuvres d’art et d’antiquité connaissent une fiscalité spécifique. Ils font partie des rares actifs patrimoniaux à ne pas être assujettis à l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), rappelle l’Institut du Patrimoine. L’article 885 I du Code général des impôts (CGI) prévoit que les objets d’antiquité, d’art ou de collection en sont intégralement exonérées de l’ISF.

Cette exonération des oeuvres d’art à l’impôt de solidarité sur la fortune a deux avantages : d’une part, le patrimoine artistique n’est pas déclarable à l’ISF ; d’autre part, les sommes consacrées à l’acquisition d’oeuvres d’art sortent intégralement de l’assiette taxable de l’ISF.

Un particulier disposant d’un patrimoine taxable de 1 350 000 euros doit donc régler 2 225 euros d’ISF par an. En achetant une oeuvre d’art à 50 000 euros, il est exonéré d’ISF. « Avec un gain de 2 225 euros par an, 4,45% du prix de l’oeuvre est financé tous les ans par sa réduction d’impôt », précise Arnaud Dubois, responsable du service Art.

« Dans un marché de l’art mondial où l’oeuvre d’art se déplace vers les lieux où la demande est la plus forte et la fiscalité la moins pénalisante, le différentiel de charges font de la France une place de marché extrêmement favorable pour ses opérateurs. » ajoute-t-il.

Selon l’Institut du Patrimoine, l’intégration des oeuvres d’art à l’ISF ne sera pas remit en cause. Cette mesure ne serait en effet pas à la hauteur des efforts demandés : la rentabilité fiscale serait très faible, à hauteur de quelques millions d’euros seulement.

Par ailleurs, les oeuvres d’art n’apportant pas de revenu, taxer les oeuvres d’art reviendrait à taxer la détention. Cette mesure inciterait les collectionneurs à ne pas acquérir des oeuvres d’art, ralentissant considérablement le marché de l’art en France.

De plus ajoute l’Institut du Patrimoine, le Fisc ne dispose d’aucun moyen sérieux pour apprécier la valeur des oeuvres d’art des contribuables : celui-ci ne saurait se baser sur aucun critère pour déterminer une assiette taxable.

Enfin, cela aurait pour double effet la fuite massive des oeuvres d’art à l’étranger, entraînant la décroissance du marché de l’art en France et le non retour des capitaux pour éviter leurs taxations à l’ISF.

Le Figaro

01 mars 2014

Les oeuvres d’art versus l’ISF

L’article 885 I du Code général des impôts (CGI) prévoit que les objets d’antiquité, d’art ou de collection sont intégralement exonérées de l’ISF. Cette exonération a deux avantages :

– le patrimoine artistique n’est pas déclarable à l’ISF
– les sommes consacrées à l’acquisition d’oeuvres d’art sortent intégralement de l’assiette taxable de l’ISF

Rappel :

Les personnes physiques dont le patrimoine dépasse 1 300 000€ sont redevables de l’ISF. Dès le dépassement de ce montant, la base taxable commence à 800 000€.
Exemple : Un particulier qui dispose d’un patrimoine taxable de 1 350 000€, doit payer 2 225€ d’ISF par an. En achetant une oeuvre d’art à 50 000€, il est exonéré d’ISF. « Avec un gain de 2 225 € par an, 4,45% du prix de l’oeuvre est financé tous les ans par sa réduction d’impôt », précise Arnaud Dubois, responsable du service Art de l’Institut du Patrimoine. «Dans un marché de l’art mondial où l’oeuvre d’art se déplace vers les lieux où la demande est la plus forte et la fiscalité la moins pénalisante,le différentiel de charges font de la France une place de marché extrêmement favorable pour ses opérateurs », ajoute-t-il.

Pourquoi l’intégration des oeuvres d’art à l’ISF ne sera pas remise en cause :

– Cette mesure ne serait pas à la hauteur des efforts demandés : la rentabilité fiscale serait très faible, à hauteur de quelques millions d’€ seulement.

– Les oeuvres d’art n’apportant pas de revenu, les taxer reviendrait à taxer la détention. Cette mesure inciterait les collectionneurs à ne pas en acquérir, ralentissant ainsi le marché de l’art en France.

– Le Fisc ne dispose d’aucuns moyens sérieux pour apprécier la valeur des oeuvres d’art des contribuables : il ne peut se baser sur aucun critère pour déterminer une assiette taxable.

– Enfin, cela aurait pour double effet la fuite massive des oeuvres d’art à l’étranger, entraînant la décroissance du marché en France et le non-retour des capitaux pour éviter leurs taxations à l’ISF.

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02 février 2014

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Le Nouvel Economiste

01 février 2014

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25 janvier 2014

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