Institut du Patrimoine dans les médias

Investir dans l’art, un placement à part entière

Les oeuvres d’art constituent une classe d’actifs à part entière, bénéficient d’une fiscalité très favorable et demeurent un placement financier pertinent. dans une démarche de diversification patrimoniale.

Argent & Patrimoine

02 juillet 2014

Le carnet des CGPI : CGPI – Fournisseur, le face à face

Mieux vaudrait privilégier la constitution de groupements informels.

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Gestion de Fortune

01 juillet 2014

Assurance vie : La vérité sur les frais de vos contrats

Frais sur les versements, de gestion et d’arbitrage : l’assurance vie est un placement performant qui doit être facturé au juste prix.

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Le Revenu

04 juin 2014

Quelle place occupent les oeuvres d’art au sein du patrimoine ? 

La croissance insolente du marché de l’art qui s’établit sur deux chiffres n’a jamais rendu la question de la rentabilité des œuvres d’art aussi légitime. Collectionneurs et investisseurs se rencontrent sur ce marché atypique et prestigieux : un remède contre la crise !

Gestion de Fortune

03 juin 2014

Bourse: l’embellie attire les particuliers mais la prudence s’impose

L’embellie attire les particuliers mais la prudence s’impose

Faire ses premiers pas en Bourse sans mettre en péril ses économies ne s’improvise pas: « ce n’est pas le casino, on n’investit pas pour avoir le résultat dès que la roulette a fini de tourner », assène un expert. « La Bourse est une école de patience. Il faut investir sur ce que l’on comprend, ce qui veut dire: +je ne succombe pas aux sirènes de tous ces produits » promettant des gains mirobolants contre lesquels le gendarme de la Bourse met en garde, complète Sébastien Korchia, directeur des gestions actions de Meeschaert Asset Management.

Le rythme effréné des nouvelles entrées en Bourse en 2014 et l’embellie générale sur les marchés attirent un nombre croissant de particuliers, mais la liste des pièges à éviter pour investir ses économies dans des actions est presque plus longue que celle des conseils à suivre. « Les premiers conseils, sont des conseils de choses à ne pas faire », explique ainsi Vincent de Palma, directeur des propositions clients chez HSBC. Il ne faut « pas investir en Bourse le petit matelas qu’on met de côté en cas de coup dur », détaille-t-il en invitant à mobiliser l’argent qui reste « une fois que +j’ai mis mon épargne de précaution de côté, que
j’ai constitué celle pour financer les études de mes enfants ou acheter ma résidence principale »
. Autre impératif : écarter d’emblée les produits les plus dangereux, sur lesquels le particulier peut perdre plus que son capital de départ, et contre lesquels l’Autorité des marchés financiers (AMF) n’a de cesse de lutter, comme ceux liés au marché des changes, le Forex, où les arnaques se multiplient.
– « Accepter de prendre des gamelles » –

Passés ces écueils, les conseils des professionnels peuvent se résumer à quelques proverbes : « Ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier » ou « Tout vient à point à qui sait attendre »… »Ces vieux adages ne sont pas du tout ringards, ce que les gens font dans la vie de tous les jours, il faut aussi l’appliquer en Bourse », explique M. Korchia. Les professionnels s’accordent en effet sur plusieurs « règles d’or »: diversifier son portefeuille, investir sur le long terme (5 ans minimum), se documenter et ne pas s’aventurer au-delà de ce que l’on comprend. Le placement de longue durée permet des performances supérieures, insiste M. Korchia.
Et mieux vaut investir progressivement, sur 10 valeurs au maximum pour mieux les suivre, juge de son côté Nicolas de Menthon, directeur de la clientèle privée chez Cholet Dupont. « Un client qui n’y connait rien, peut débuter par des OPCVM », conseille M. Palma. Ces organismes de placement collectif permettent de déléguer la gestion des fonds que l’on veut placer à un professionnel.
Une fois familiarisé avec le marché, l’investisseur pourra acheter directement des actions, de préférence en optant pour des entreprises de « son environnement quotidien », dit M. Korchia. « Etre un actionnaire minoritaire en Bourse, ce n’est pas non plus être le partenaire historique et financier de l’entreprise, il faut donc laisser de côté tout attachement », prévient toutefois M. de Menthon.

Tous enjoignent l’investisseur à suivre assidument l’actualité économique pour comprendre le fonctionnement du marché autant que l’environnement de l’entreprise, sans être non plus « derrière son écran toute la journée, (car) on ne regarde pas ses plantes pousser », nuance M. Korchia.
« Il y a beaucoup d’informations, il faut prendre le temps de les comprendre » et « il faut aussi accepter de prendre des gamelles parfois », observe Jérémy Aras, ingénieur patrimonial à l’ Institut du Patrimoine.

« Il ne s’agit pas de détruire le côté ludique de la Bourse, ni de la diaboliser, mais c’est un jeu avec ses règles, ses risques et ses modes de fonctionnement », souligne M. Palma.

Au final, la Bourse est-elle un monde réservé aux pros ? Oui, « la Bourse est un monde de professionnels », répond M. Palma, « mais ce n’est pas non plus le Grand Méchant Loup » et pour ceux qui « veulent investir dans l’économie, il n’y a pas de participation
plus directe que d’avoir des actions dans une entreprise »
.

Le Parisien

02 juin 2014

Faire ses premiers pas en Bourse avec prudence, pour ne pas mettre ses économies en péril

Faire ses premiers pas en Bourse sans mettre en péril ses économies ne s’improvise pas.

Le Petit Journal

01 juin 2014

Art Basel, le rendez-vous majeur de l’art contemporain 

Arnaud Dubois, responsable placements art moderne et contemporain à l’Institut du Patrimoine

Du 18 au 22 juin, se tient à Bâle pour sa quarante-cinquième année consécutive le plus important événement artistique de l’année.

Art Basel 45 est la plus grande foire d’art contemporain du monde. Elle accueille quelques 70.000 visiteurs venus rencontrer 235 galeries provenant de 5 continents.

L’excellence est probablement ce qui définit le mieux la foire suisse. Excellence de sa programmation et excellence des oeuvres présentées. Les investisseurs/collectionneurs viennent du monde entier pour s’offrir des chefs d’oeuvres qu’ils payent souvent au prix fort.

Le prix souvent élevé du chef d’oeuvre se justifie parce que celui-ci singulier et indivisible est irremplaçable. A la non substituabilité des oeuvres vient s’ajouter les notions de raretés et de raréfaction. D’abord parce que les oeuvres d’art ne sont pas physiquement impérissable. Ensuite, il faut compter sur le capital artistique gelé par les musées en devenant patrimoine national, celles-ci sont définitivement retirées du marché de l’art.

Une oeuvre d’art unique confère en apparence une situation de monopole à son propriétaire. Cependant les études de Chamberlain nous rappellent qu’une oeuvre peut être substituable à une autre. Un acquéreur motivé par le prestige ou l’investissement réduit l’oeuvre d’art à un usage et réintroduit des éléments de concurrence au sein d’une situation en apparence monopolistique. Le degré de substituabilité de l’offre va décroissant à mesure que l’on s’approche de l’excellence artistique et de la rareté extrême.

Dans un marché de l’art classé où règne la notion de monopole, où les oeuvres occupent une place prépondérante dans l’histoire de l’art, alors le propriétaire se retrouve dans un cas idéal de limitation de l’offre et par conséquent de monopole.

L’acquisition de chefs-d’oeuvre est un excellent moyen pour celui qui le peut, d’intervenir sur le marché de l’art. En minimisant le risque de la réévaluation des valeurs artistiques, les acquéreurs se placent dans une situation de monopole et peuvent justifier le prix qu’ils souhaitent en cas de revente.

Il est parfois plus raisonnable d’investir dans un chef d’oeuvre payée au prix fort plutôt que dans des oeuvres de moyenne qualité.

Le 12 novembre 2013, Christie’s dispersait une pluie de chef-d’oeuvre. Parmi elle, Conversation avec Lucian Freud, un triptyque de Francis Bacon vendu pour quelques 145 millions de dollars. Un prix en apparence exorbitant qui pourrait en réalité s’avérer une très bonne affaire.

Le CV de Arnaud Dubois
Responsable placements art moderne et contemporain, Institut du Patrimoine

Après plusieurs années passées au sein de prestigieuses galeries d’art contemporain et sociétés de ventes aux enchères internationales, Arnaud Dubois est aujourd’hui responsable des placements en art moderne et contemporain au sein de l’Institut du Patrimoine. Conseiller en gestion de patrimoines artistiques, il répond aux différents besoins des particuliers et professionnels qui souhaitent se constituer un patrimoine artistique en vue d’une diversification patrimoniale.

Boursier.com

01 juin 2014

Les nouveaux enjeux d’une profession en quête de maturité

Le métier de conseiller financier indépendant évolue vers plus de professionnalisme. Mais il se cherche encore un véritable statut.

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Les Echos

02 mai 2014

Les oeuvres d’art doivent être considérées comme un actif à part entière

Arnaud Dubois, responsable du service art de l’institut du patrimoine répond aux questions de la rédaction sur le thème de l’investissement dans l’art.

Décideurs. Qu’est-ce qui fait l’attractivité du marché de l’art aujourd’hui ?

Arnaud Dubois. Le marché de l’art dispose de nombreux atouts qui séduisent de plus en plus d’investisseurs particuliers. D’abord, parce que le marché de l’art est décorrélé des actifs traditionnels. Les variations macroéconomiques liées aux marchés financiers ou immobiliers n’affectent que très peu voir pas du tout le marché de l’art. Les œuvres d’art deviennent ainsi un excellent moyen de diversifier son patrimoine. Ensuite, le marché de l’art bénéficie d’une fiscalité particulièrement attrayante qui en fait une véritable niche fiscale. Précisons tout de même que lorsque l’on envisage les œuvres d’art comme un placement, le choix de l’œuvre doit être décorélé de toute considération de plaisir. Une alternative est possible, conjuguer placement et passion, c’est souvent le choix des collectionneurs.

Décideurs. Quel est le retour sur investissement à attendre lorsqu’on investit dans le marché de l’art ?

A. D. « La vente se fait à l’achat » affirmait justement Warren Buffet. Nous pensons qu’il n’existe que deux manières de générer de la plus-value sur ce marché. La première en spéculant, c’est-à-dire en achetant les œuvres d’un artiste en espérant que sa cote grimpe avec le temps. La seconde en battant le marché, c’est-à-dire en achetant plus bas que la cote actuelle de l’artiste. Stricto sensu on peut quantifier la qualité d’un investissement selon trois critères : la sécurité, la liquidité et la performance. Pour le compte de nos clients, notre objectif est donc de trouver, et par la suite de revendre, des œuvres d’artistes internationaux dont le prix est sous-valorisé et dont la cote est globalement à la hausse. Ceci qui nous permet de remplir les trois critères relatifs à n’importe quel investissement. L’immense majorité de nos clients revendent leurs œuvres dans l’année suivant leurs acquisitions avec des plus-values nettes d’impôts et de frais de gestion avoisinant les 15 %.

Décideurs. Quel est le poids de la fiscalité sur les œuvres d’art pour les particuliers ? Pour les entreprises ?

A. D. L’investissement dans l’art bénéficie encore d’un régime fiscal extrêmement souple. Les particuliers ont le choix entre le régime général qui prélèvera 34,5 % de la plus-value réalisée lors de la revente ou une taxation forfaitaire à hauteur de 6,5 % du montant total de la vente. Rappelons également que les œuvres d’art est l’un des rares actifs qui ne rentrent pas dans l’assiette taxable de l’ISF. Encore méconnus des sociétés, celles-ci peuvent défiscaliser 100 % du montant d’une œuvre d’art dans la limite de 5 pour mille de leur chiffre d’affaires et dans la limite de 20 % du prix de l’œuvre. Évidemment ce régime très avantageux a ses contreparties. Les œuvres doivent être celles d’un artiste vivant et être visibles du public pendant au moins cinq ans. Cela dit, l’interprétation est assez large et exposer une œuvre dans sa salle d’attente ou son hall d’accueil satisfait au critère d’exposition publique.

Décideurs. On assiste de plus en plus à l’émergence de fonds communs de placements diversifiant comme dans le vin. Qu’en est-il d’un fonds avec comme sous-jacent les œuvres d’art ?

A. D. L’idée est ancienne. Le premier FCP en art est probablement celui fondé 1904 par André Level. Cette association qui avait pour but de constituer une collection avec quelques amis, « La peau de l’ours », chacun versant 250 francs pendant dix ans pour acquérir des œuvres avec pour objectifs de jouir de leurs tableaux et de les revendre dix années plus tard. Cette affaire fut un échec cuisant. Non parce que les prix des œuvres de Picasso, Matisse, Gauguin ou Van Gogh avaient diminué mais bel et bien parce qu’ils avaient considérablement augmentés. Tous voulant racheter leurs propres toiles, les investisseurs devenu collectionneurs, se sont ruinés par attachement de leurs œuvres. Plus tard, Paribas a eu l’idée de créer un fonds semblable avec plus de 300 millions de francs. Le mauvais timing de vente a limité la rentabilité du fond qui resta néanmoins bénéficiaire. Le fond idéal serait fermé pendant une duré entre 3 et 7 ans avec une possibilité de l’alimenter avec le bénéfice des reventes de certaines œuvres. Pour revenir à votre question, c’est un sujet qui attire notre attention aujourd’hui.

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Décideurs

01 mai 2014

Un dessin sur deux est adjugé en dessous de 2 000 euros, souligne l’Institut du Patrimoine

La société de conseil en patrimoine, l’ Institut du Patrimoine, a rappelé à l’occasion du Salon du dessin contemporain Drawing Now Paris, l’intérêt fiscal des dessins. Ces derniers bénéficient en effet de la même fiscalité favorable que celui des oeuvres d’art. Leurs investissements ne sont pas assujettis à l’ISF et sortent intégralement de l’assiette taxable de l’ISF. Dans ce cadre, le cabinet de conseil rappelle le lancement, le 26 mars prochain de ce salon, première foire européenne exclusivement consacrée au dessin contemporain.

Du 26 au 30 mars 2014 près de 80 galeries internationales sélectionnées pour la qualité des feuilles qu’elles proposent, accueilleront plus de 20 000 visiteurs, collectionneurs, professionnels, amateurs d’art sur 2 sites le Carreau du Temple et l’Espace Commines.

« Un dessin contemporain sur deux est adjugé en dessous de 2 000 euros. Le marché du dessin contemporain procure de véritables opportunités pour les jeunes collectionneurs qui souhaitent débuter une collection », a précisé Arnaud Dubois, responsable du service Art.

Pour l’ Institut du Patrimoine, les oeuvres sur papier sont un véritable sésame pour les
collectionneurs aux budgets les plus modestes ou bien les jeunes amateurs d’art, leurs permettant de pousser les portes du marché de l’art. Le dessin est un excellent moyen d’accéder au travail des stars du marché de l’art contemporain à moindre coût tout en gardant l’espoir de faire des plus-values en cas de revente.

Le Figaro

04 mars 2014

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